dimanche 22 août 2010

Véronika Kokoriko


Je n'avais jamais fait le lien.

C'est quand j'ai vu la face du père que j'ai fait le lien. Les enfants écoutaient VRakTv et là est soudainement est apparu un visage familier.

C'est qui donc lui?...un cowboy il me semble...Un gars qui travaillait ben ben fort pour cacher son manque d'éducation en jouant la carte du "gars ben ordinaire"...

OUI!!! Billy Ray Cyrus!!! L'homme d'un seul hit, un énooooooooooooooooooorme hit qui l'a rendu hyper riche et a donné une vie à Steff Carse. Une vie d'un an ressucitée par Anne-Marie Losique plusieurs années trop tard mais une vie quand même.

Et c'est là que j'ai fait le lien. L'ancien cowboy que je regardais à la télé faisait l'acteur dans la série Hannah Montana...avec...avec Hannah...Myley Cyrus...Mais ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Ils ont la même face!!!!!!!!!!!! Je me suis dit "Ah ben, c'est une enfant de la balle".

Et une méchante machine à fric.

Comme je suis toujours averti en ce qui concerne le fric (j'ai une conseillère financière dans mon lit après tout) j'ai tout de suite eût l'idée de scénariser une série télé Québécoise...fictive...inspirée de la même chose...Un père d'une gloire ancienne, dont la fille serait une "star".

Je l'ai appelée "Veronika Kokoriko" et je l'ai mise blonde afin de la distinguer d'Hannah. Elle serait VJ sur une station qui diffuse de la musique en continu alors que son père sévirait dans la bizzniss lui aussi comme agent. Elle s'exprimerait comme une charrue dont la roue scille mais les gens l'aimerait donc parce qu'elle aurait un petit côté "Céline" toute simp'e. Comme dans "simple d'esprit". C'est vrai que de tout les nains de Blanche-Neige on se rappelle toujours de Simplet. Son petit côté cow girl rappellerait aussi son père, qui pour toute scolarité n'aura obtenu que le diplôme du meilleur connaisseur d'Elvis. Ce qui en fera un coloré personnage qui lui, rapellera beaucoup Normand L'Amour ou Régis Lévesque.

Un sympathique dadet d'Amérique.

Elle gagnera la faveur du public à grand coup de publicité rentrée dans la gorge de force en multipliant ses présences comme animatrice dans une émission qui demande aux gens de chanter et qui pourra ploguer les artiste de papa. Elle animera le gala de la musique du Québec, même si papa est clairement en conflit d'intérêt (ça donnera un épisode épicé où il veut choisir les gagnants dans ses artistes à lui). Elle serait partout! à la une des magazines, des journaux, à la radio, à la télé dans des émissions, comme invité et dans des publcités. On demanderait à Véronika de faire l'actrice dans un film et de nous faire rire, ce qui n'a jamais été son métier et qui, au final est même une sévère insulte à quiconque est formé pour jouer la comédie.

On lui pardonnera passkonêmVéronikaaaaaaaaaaaaaa!
On sait pas complètement pourquoi mais on l'aime.
C'est comme magnétique.
On lui demande d'être drôle pour un show de fin d'année télé, ce qu'elle n'a jamais été, et elle se plante.

Pas de sa faute c'est pas son job. On l'aime pareil.

Malgré une voix horrible de vieille joueuse de Bingo qui fume un paquet par carte on lui donne pas un, pas deux, pas trois...SIX shows de radio au cours des années...

On l'aime encore plus quand son père est révélé comme un horrible monstre aux instincts abomninables. Le sympathique dadet d'Amérique est devenu un ogre.
On se dit "pauvre chouette, elle a grandi avec le monstre..."

On l'aime quand même après qu'elle eût attaqué la victime de son père dans le show pas drôle de fin d'année qu'on lui a encore demandé de faire. C'est le boutte "épisode noir" de la série.

On lui donnerait ensuite le concept écrit sur une napkin d'une émission aussi vide qu'un refrain entamé pendant 45 secondes après avoir donné une réponse dans un quiz musical.

Et on lui redemandera de faire un show comique de fin d'année même si elle n'a pas souvent fait rire qui que se soit.

On lui demandera aussi d'animer un show télé sur les enfants de la télé (inceste vous dites?) avec une tantouze turbosympathique.

On a Véronika dans le sang.
On est petit comme ça chez nous.
Onlèmpasskêtellemenuzôt!

Ça va pogner.

Aucun commentaire: